par Catherine Risacher | Juin 7, 2016 | Non classé
Dans notre civilisation, cela peut paraître incongru de rechercher le silence. Pourtant, le silence peut devenir un compagnon de route et un ami. Mais au fait, quelle en est la définition ?
- Absence de tout bruit, de toute agitation
- Etat de quelqu’un qui s’abstient de parler ou d’écrire, d’exprimer son opinion
- Absence de mention d’un événement
- En musique: interruption plus ou moins longue du son
Le silence, c’est aussi l’arrêt d’un rythme, le vide. C’est aussi se rendre perméable au subtil, au murmure de la vie inaudible sans le silence.
Le silence et le mutisme sont de significations très différentes. Le silence est un prélude d’ouverture à la révélation, le mutisme est la fermeture à la révélation, soit par le refus de la recevoir ou de la transmettre, soit par punition de l’avoir brouillée dans le tapage des gestes et des passions.
Nous sommes si familiers avec le bruit des mots… mais quel est le silence de celui qui n’entend pas, le silence du sourd-muet ? il se sent au début comme privé du pouvoir de communiquer, parce que privé de parole et que l’accès à la parole est le mode le plus partagé de la communication. Il y a bien de la différence entre le silence et l’absence de bruit !
Le silence par absence de bruit, axe de notre civilisation, nous gêne. Il semblerait que ce qui ne fait pas de bruit n’ait pas d’importance. L’absence de bruit peut être nécessaire pour réfléchir, mais nous sommes souvent à faire l’inverse. L’expérience du bruit engage toujours avec elle l’expérience d’un ‘autre’ alors que dans le silence, serions-nous seuls ?
Nous vivons dans un monde de célibataires. Cette solitude silencieuse subie se résume plutôt à un vide existentiel par opposition à celui présent dans une solitude recherchée. A l’inverse, la solitude voulue de la retraite monastique permet, grâce au silence, de se ressourcer. Ce que nous recherchons alors est bien sûr l’absence de bruit, mais aussi de ne plus avoir à parler à nos congénères…
Car nous vivons dans un monde où la verbalisation est la règle et le silence l’exception. Nous vivons au milieu d’un torrent de mots si bien que la valeur du silence nous échappe le plus souvent. Un silence peut être une réponse, à interpréter, mais il est toujours l’expression de quelque chose que l’on veut dire, communiquer à l’autre. En gardant le silence, quelquefois, on évite de dire ce qu’il vaut mieux omettre. La parole n’est pas le bavardage…
(Article inspiré par le blog Zen habitudes)
Le silence, avant d’être une possibilité de réflexion sur la parole, doit être un espace pour l’ECOUTE. Le silence intérieur rend disponible par une mise en retrait du monde. Il favorise l’observation et procède à la mise en branle des énergies subtiles. Je vois, j’écoute, je sens, je ressens, je goûte…
par Catherine Risacher | Mai 29, 2016 | Non classé
Etre plus heureux n’est pas seulement une question de chance. Quels que soient les événements qui interviennent dans une vie, il et important de toujours relativiser et d’essayer de voir ‘le verre à moitié plein’. Voici quelques objectifs simples qui pourront vous rendre beaucoup plus heureux si vous réussissez à les atteindre.
- Respecter les autres : Respecter les autres est en effet primordial. Vous l’avez certainement remarqué, le dédain, la médisance ou le mépris ne mènent à rien si ce n’est la médiocrité. Les personnes qui ont tendance à s’énerver de manière épisodique regrettent souvent leurs paroles indélicates et passent ensuite des heures, voire des jours à repenser à ce qu’elles auraient dû dire ou faire. Respecter les autres permet d’une part d’être plus agréable à autrui, d’autre part, de se sentir mieux dans sa peau, sans culpabilité ni regret. Le respect des autres entraîne généralement un retour positif : les autres vous respectent à leur tour, ils vous font confiance et tout le monde vit mieux.
- *Se respecter soi-même : Boire trop d’alcool, fumer, ne pas manger équilibré, faire des nuits blanches, prendre des risques inutiles, etc… tous ces exemples sont en fait de petits manques de respect pour votre propre corps et parfois même pour votre esprit. Mais le respect n’est pas seulement physique, il doit être aussi moral. Ainsi, si vous vous dénigrez, que vous ne croyez pas en vous ou en vos compétences, alors vous vous manquez de respect. Si vous ne réussissez pas à vous faire confiance, il est peu probable que quelqu’un le fasse pour vous ! Croyez-en vous et ne vous mettez plus de barrières ! Le fait de se lancer alors que l’on ne sait rien oblige à apprendre… et l’apprentissage fait partie intégrante du respect que l’on a pour soi-même. Nourrissez votre cerveau de nouvelles informations, allez de l’avant, oubliez les limites et avancez en confiance, vous ne le regretterez pas !
- Se donner les moyens de faire ce que l’on veut : La vie est trop courte pour perdre son temps et se priver. Donnez-vous les moyens de faire ce que vous voulez, à condition bien sûr que ce que vous voulez soit réaliste et envisageable. Commencez par vous fixer quelques objectifs simples, de petites choses qui pourraient vous rendre plus heureux au quotidien. Gardez néanmoins à l’esprit que pour profiter, il faut généralement ‘travailler’. Le plaisir est en effet décuplé lorsque le chemin a été long pour arriver à un but. Une fois ce fameux but atteint, on se fixe généralement un nouvel objectif car le bonheur réside souvent dans la quête de ce que l’on veut et non dans le résultat ! Donnez-vous les moyens d’entreprendre, prenez des initiatives : de cette manière, vous apprendrez et vous prendrez un plaisir fous dans chaque initiative.
- Etre positif : Etre positif est sans doute LA clé du bonheur. L’idée n’est pas de porter un masque et de faire croire que tout va bien, mais de le penser réellement. Prenez l’habitude de trouver le côté positif de chaque chose et, si vous le souhaitez, pensez à voix haute pour vous auto-convaincre ! Le seul fait d’être positif devrait irrémédiablement ‘déteindre’ sur ceux qui vous entourent. Pratiquez le positivisme au travail, avec votre famille, en amour et soyez confiant…
- Profiter de l’instant présent : Internet, ordinateurs, tablettes, smartphones, nous avons tendance à délaisser la beauté de ce qui nous entoure au profit d’une vie virtuelle pourtant beaucoup moins enrichissante. Profiter de l’instant présent signifie prendre conscience de notre environnement. Inspirer l’air frais, fermer les yeux et se dire ‘quelle chance j’ai d’être en vie’ c’est ça le bonheur. A vous de jouer !
Source : Habitudes zen / Olivier Roland
par Catherine Risacher | Mai 20, 2016 | Non classé
Maîtrisez votre temps : Les gens heureux ont le sentiment de contrôler leur vie. Pour maîtriser votre temps, fixez-vous des objectifs et répartissez-les en objectifs quotidiens. Nous avons tendance à surestimer ce que nous pouvons réaliser en un jour (d’où une frustration ensuite), mais à sous-estimer ce que nous pouvons faire en un an si nous avançons un peu chaque jour.
Ayez un travail et des loisirs qui vous permettent de déployer vos talents : Les gens heureux sont souvent dans un état de ‘flow’ (expérience optimale où tout semble fluide) : ils sont absorbés par des tâches dans lesquelles ils se donnent à fond, tout en ne se laissant pas submerger par elles. Les formes de loisirs plus coûteuses, comme être sur un yacht, procurent souvent moins cette expérience optimale que le jardinage, les contacts humains ou les activités manuelles.
Comprenez bien qu’un bonheur durable ne vient pas du succès : Les individus s’adaptent au changement, qu’il découle d’une augmentation de la richesse ou de la survenue d’un handicap. La richesse est comme la santé : ne pas l’avoir engendre la misère, l’avoir (ou obtenir une situation enviée) ne garantit pas le bonheur.
Accordez la priorité à de véritables relations : Les amitiés profondes avec des gens qui se préoccupent véritablement de vous peuvent vraiment vous aider à faire face aux moments difficile. Se confier à quelqu’un est bon pour le corps comme pour l’esprit. Entretenez vos relations intimes, en ne tenant pas pour acquis les personnes aimées, en leur prodiguant l’affection que vous prodiguez aux autres, en les soutenant, en jouant et en partageant avec elles. Pour ranimer vos sentiments, donnez de l’amour.
Paraissez heureux : Nous pouvons parfois agir de manière à créer en nous un état d’esprit plus heureux. Même quand on nous arrache un sourire, nous nous sentons mieux. Quand nous faisons grise mine, le monde entier semble faire de même. Ayons donc l’air heureux. Parlez comme si vous étiez content de vous, optimiste et extraverti. Si vous allez dans ce sens, les émotions suivront !
Bougez : D’innombrables études montrent que l’exercice physique peut soulager une légère dépression ou une angoisse, mobilisant à la fois la santé et l’énergie. Ce qu’il faut, c’est un esprit sain dans un corps sain.
Offrez à votre corps le sommeil dont il a besoin : Les gens heureux mènent une vie active, mais consacrent le temps nécessaire au sommeil et à la solitude. Beaucoup souffrent d’un déficit du sommeil, lequel engendre de la fatigue, une vivacité moindre et une humeur morose.
Soyez généreux : Tendez la main à ceux qui sont dans le besoin. L’altruisme favorise le bonheur (qui se sent bien fait le bien). Et faire le bien permet de vous sentir mieux.
Cultivez votre spiritualité : Pour beaucoup de gens, la foi apporte un soutien communautaire, une raison de se tourner vers les autres, un sens à la vie et une espérance.
Tenez un journal de gratitude: Qui prend le temps, chaque jour, de consigner chaque aspect positif de sa vie (santé, amis, famille, liberté, éducation, impression, etc…) ressent un bien-être accru.
Source : Happiness : Le grand livre du bonheur
par Catherine Risacher | Mai 12, 2016 | Non classé
Et si on en prenait de la graine ?
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TU ES, DONC JE SUIS !
par Catherine Risacher | Avr 25, 2016 | Non classé
Tandis que vous vous rongez d’inquiétude pour l’avenir, d’autres répondent ‘tout problème a sa solution’ ou ‘quoi qu’il se passe, ça ira !’Mais d’où leur vient cette force tranquille ? Sont-ils tombés dans la potion magique de Panoramix ?
Ils savent tracer leur chemin et avancer, faire des choix, s’exprimer. Leur moteur, c’est la confiance qu’ils se portent. Elle n’a rien à voir avec le sentiment de toute-puissance ou l’arrogance. Elle n’exclut pas le doute, la fragilité. Simplement, elle sait transformer les failles en points d’appui !
Qu’est-ce que la confiance en soi ? Intuitivement, nous savons tous à quoi ça ressemble : quelque chose comme de l’aisance, de l’assurance, une facilité. C’est une force tranquille, une énergie puissante et fondatrice. Grâce à elle, nous pouvons dépasser les obstacles, avancer dans nos projets. Nous la reconnaissons lorsque nous l’éprouvons, mieux encore lorsque nous en manquons ! … coeur qui bat la chamade, mains moites, gorge serrée, ventre noué… Mais de quoi est-elle faite ? Sur quoi repose t’elle ?
Sans doute avançons-nous plus confiants lorsque la fortune nous sourit. ‘Ah, si j’étais riche, si j’étais plus mince, si j’avais un meilleur salaire, si j’avais plus de temps, ça irait mieux ! Peut-être.
La confiance en soi est un problème de fondations. Elle s’étaye avant toute chose sur l’amour que nous avons reçu dans les tout premiers temps de notre existence et ressemble à une sécurité intérieure à faire grandir et nourrir tout au long de notre vie !
Le narcissisme -l’amour que nous avons pour nous-même- naît de l’intériorisation de cette sollicitude originelle. Il fonde l’image que nous avons de nous et, partant de là, l’estime que nous nous portons. Avoir confiance en soi, c’est être empli d’amour et de vie, c’est se sentir appartenir à la grande chaîne du vivant, au même titre que les plantes et les animaux. Voilà aussi qui permet de se relever des épreuves les plus terribles et, même lorsque l’avenir paraît sombre, de garder confiance dans la vie.
Privés dès le départ d’un amour qui nourrit, certains manquent cruellement d’énergie. D’autres ont la nostalgie de leur enthousiasme d’enfant, émoussé par les épreuves et les désillusions de la vie. Parfois, à force de brimades et d’humiliations, il devient plus facile de se conformer ou de se soumettre plutôt que de lutter pour s’affirmer ! Quelles sont donc les limites dans lesquelles nous nous enfermons ? … la peur… de déplaire, de ne plus être aimé, de souffrir, de perdre… pour n’en citer que quelques-unes.
S’autoriser à, s’empêcher de … la confiance en soi n’empêche pas les moments de doute, elle permet de les surmonter. Cherchez à faire aussi bien que possible, pas à tout maîtriser, à être honnête sans être parfait, à avoir du charme sans avoir besoin d’être irrésistible ! N’ayez pas confiance qu’en vous-même ! Tout ce qui vous arrive ne dépend pas que de vous mais aussi de votre environnement !
Et surtout n’oubliez pas que chaque échec est une opportunité, chaque obstacle est une occasion de grandir. Vos faiblesses sont vos forces mais parfois un accompagnement est nécessaire pour lever les obstacles placés sur votre route.
Prendre confiance en soi, c’est comme partir pour un long voyage. Vous allez probablement vous perdre en chemin mais, l’air de rien, tant que vous continuez à marcher, vous vous rapprochez du but, c’est ça l’essentiel !(Source : synthèse dossier Psychologies magazine)
par Catherine Risacher | Avr 25, 2016 | Non classé
Chers enfants de lumière, nous vous enseignons maintenant sur l’élévation vibratoire et votre besoin de comprendre qui vous êtes, et pour cela, allons vous raconter l’histoire de Théo, le cristal perdu et retrouvé.
Théo est un être de conception magnifique, un cristal brillant de toutes parts. Il passe son temps à s’améliorer, à lustrer ses facettes, à libérer ses défauts, à tailler ses facettes pour être encore plus lumineux. Il est l’un des plus beaux des cristaux, les cristaux autour de lui le reconnaissent et l’honorent. Il n’en tire pas gloire mais il connaît sa valeur et il est un bon modèle pour les autres.
Un jour, il décide de venir sur une planète spéciale afin de montrer sa lumière, sa puissance, comment les rayons lumineux passent par lui pour magnifier le soleil et la lumière, à la gloire de ses parents cosmiques. |
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Théo arrive sur cette planète et se retrouve dans le noir, dans une mine, entouré de morceaux de pierres, de quelques cristaux qui commencent à lui ressembler et qui ne savent pas ce qui leur arrive, parce que la transformation est lente et fait souffrir.
Théo n’est plus nourri par la lumière, il se demande ce qu’il fait là, il se sent seul, il ne sait plus qui il est. Les autres l’écoutent et sont exaspérés de son mal être et lui disent ‘c’est ainsi’, il n’y a rien à faire, notre nature est le noir, l’obscurité et nous sommes bien ici. Il se pose beaucoup de questions existentielles. À force, il oublie même que la lumière existe parce qu’il ne la voit plus et commence à douter complètement de sa propre valeur. Il est malheureux.Un jour, un tremblement de terre créé une faille et ouvre la mine qui laisse apparaître les rayons du soleil et d’un coup son reflet se met à briller, au milieu de tous les autres il est remarqué, et chose étonnante, il est déjà magnifiquement taillé, c’est incroyable.Tous les cristaux veulent lui ressembler. Il retrouve ses heures de gloire parce qu’il retrouve sa vraie nature. Il se sent bien, à sa place et devient un modèle. Il sait maintenant pourquoi il a ces nombreuses arêtes et ces angles qui l’ont fait tant souffrir ; c’est pour montrer à chacun plusieurs façons de briller pour se mettre en valeur.Il a compris la nouvelle leçon : même dans la pire des situations, sa valeur ne change pas, ce sont uniquement les conditions qui font oublier sa vraie nature.
Vous êtes tous des Théo, vous êtes tous des porteurs de lumière, des cristaux et vous avez tous une grande valeur. Il suffit de réveiller vos capacités et parfois de vivre des expériences douloureuses pour affiner votre facette, ou parfois, d’aller dans un autre lieu, d’ouvrir vos rideaux, d’augmenter votre champ de conception, d’oser voyager, d’oser rencontrer de nouvelles personnes et d’oser quitter celles qui vous dévalorisent ou qui vous empêchent de manifester votre meilleur.En ce temps d’évolution, prenez conscience de qui vous êtes et osez manifester avec confiance vos talents, vos savoirs qui sont uniques et qui peuvent tant vous apporter de joie. Développer votre confiance, et souvenez-vous que votre essence est lumière et que vous êtes venus briller dans ce monde pour accomplir la gloire de la Vie.
Reliez-vous à la puissance du soleil, à la Source, à votre Présence, à la partie la plus lumineuse qui vous donne vie et osez briller et rayonner..
Soyez bénis.
Les maitres cristallins canalisés par Joéliah.
Infolettre http:// lejardindejoeliah.com |
Souvent, il nous faut un événement pour nous retrouver, nous révéler ou parfois d’être simplement éclairé par d’autres.
C’est le rôle des éveilleurs de conscience, des coachs, des guides.