par Catherine Risacher | Avr 15, 2016 | Non classé
Le bouddha d’or est une statue en or, la plus importante au monde. Elle se trouve à Bangkok (Thaïlande) et elle a une histoire.
Il était une fois…
Au début des années 1930, des travaux d’aménagement des berges du fleuve Chao Phraya, près du quartier chinois de Bangkok, nécessitèrent la destruction d’un vieux temple abandonné qui contenait une statue de Bouddha en stuc doré. Comme il était hors de question de détruire la statue malgré son aspect peu attrayant, il fut décidé de la transférer dans une pagode sans importance comme il en existe des centaines dans la ville. Le temple n’ayant pas de bâtiment susceptible de la recevoir, la statue resta 20 ans dehors sous un simple toit de tôles.
En 1955, un bâtiment ayant été construit, les moines décidèrent d’y installer la statue. Une grue devait la déplacer avec précaution, mais une élingue céda et la statue tomba dans la boue. C’était la saison des pluies et un formidable orage se déchaîna toute la nuit, noyant la ville sous des trombes d’eau. Au petit matin, le supérieur de la pagode revint évaluer les dégâts : il commença à essayer de laver la statue des traces de boue mais remarqua que le stuc détrempé s’était fendu et laissait apparaître un métal brillant. Après quelques investigations on s’aperçut que sous le stuc, la statue était en or massif. Cette nouvelle fit le tour de la ville, assurant au temple une renommée, une richesse et une fréquentation jamais démentie depuis. (source wikipedia.org)
Cette histoire inspirante vous invite à retrouver votre ‘bouddha d’or’ intérieur.
Pour vous en approcher, voici quelques suggestions…
1, 2, 3, ACTION !
- Arrêtez de vous cacher sous votre masque ! Apprenez à vous sourire dans la glace et à vous dire chaque jour avec joie, conviction et enthousiasme ‘je suis magnifique’ !
- Afin que l’intérieur reflète l’extérieur programmer une cure détox et une pause beauté et savourez le moment !
- Enfin, pour OSER ETRE QUI VOUS ETES et amorcer un processus de transformation intérieure, inscrivez-vous à la journée à thème du 23 avril. Détails ICI !
par Catherine Risacher | Avr 9, 2016 | Non classé
Le temps est une émotion… et l’émotion vient du mouvement. La façon dont vous bougez détermine la façon dont vous vous sentez…
Si vous maîtrisez vos émotions, vous maîtrisez votre temps et si vous maîtrisez votre temps vous maîtrisez votre vie, ça vous parle ?
Et en pratique, ça donne quoi ?
Voici 3 conseils pour arrêter votre course contre la montre :
Conseil n° 1 : Faites la différence entre l’urgent et l’important
Lorsque vous êtes dans l’urgence, quelle que soit la situation, vous êtes dans un schéma de réaction. La réaction crée des émotions toxiques qui génèrent du stress. Le stress crée l’urgence : je dois, il faut… et votre vie n’est plus qu’une succession de contraintes ! Dans l’urgence, vous déplacez du vent pour des résultats souvent décevants !
La clé est de vous focaliser sur l’important. 90 % de votre temps doit être consacré à la gestion de l’important, à savoir tout ce qui vous aide à avancer dans votre vie, ce qui contribue à votre réalisation: travail, entreprise, passion, formation…
Conseil n° 2 : Faites la liste de vos engagements
Vous faites probablement partie des gens qui trouvent que la vie est trop courte !
En fait, la vie est suffisamment longue. Ce qui est important, c’est d’arrêter de la laisser filer entre vos doigts !
Pour ce faire, il est indispensable de :
- Lister tous les engagements que vous avez, des plus insignifiants aux plus chronophages
- Analyser avec recul les engagements qui vous ‘gonflent’ et ceux qui vous motivent
- Faire le tri
- Apprendre à poser vos limites et à dire ‘non’ !
- Eviter les sources de distractions (internet, facebook, réseaux sociaux, etc…)
Conseil n° 3 : Faites une pause !
Pour éviter l’épuisement et gagner en efficacité, accordez-vous une pause : chaque jour prenez rendez-vous avec vous !
Buvez de l’eau, respirez en conscience, étirez-vous, prenez l’air, dégourdissez-vous les jambes, faites une micro sieste, méditez pendant 5 minutes, mettez en pratique l’un des exercices suggérés dans mon mini-guide conseils pour retrouver vitalité et sérénité au quotidien. Pratiquez, persévérez et variez les plaisirs !
Le temps est la seule valeur que vous ne pourrez jamais rattraper !
Le temps est sacré.
Il est par conséquent fondamental de l’utiliser à bon escient pour approcher au plus près de ce qui est important pour vous.
par Catherine Risacher | Mar 15, 2016 | Non classé
La musique accompagne nos premiers pas par des berceuses, ponctue la vie des adolescents pas des sons plus anarchiques et donne le pas aux militaires pour partir au combat jusqu’à accompagner les funérailles d’un être cher.
Le son de la voix est la première musique que nous entendons. Pas encore nés, nous baignons in utero dans la voix maternelle. L’ouïe est le premier des sens.
Le son est un élément essentiel de guérison de l’âme et du corps. Qu’il s’agisse des mantras en Inde, des sons de guérison tibétains, des chants amérindiens, des psalmodies chamaniques ou des sons aborigènes ou encore des Egyptiens, tous connaissaient le pouvoir du son. Le son pénètre partout, il s’immisce dans la plus petite cellule, qu’il s’agisse de cellules humaines, végétales ou animales. Les plantes et les animaux qui captent des fréquences plus élevées que les nôtres sont eux aussi influencés par la musique.
Le Verbe est créateur et chaque son prononcé peut détruire ou construire, que ce soit pour nous-mêmes ou d’autres qui nous entourent. Le premier des 4 accords toltèques (Don Miguel Ruiz) est : ‘Que ta parole soit impeccable’.
Verbaliser une idée c’est la mettre en vibration, cette vibration résonne dans le corps, elle ‘prend corps’, s’incarne et se propage sur l’extérieur.
Si nous pouvions voir ce que nous sommes capables de créer, nous arrêterions probablement le flot incontrôlé de nos paroles ! C’est bien souvent par ignorance et parce que nous sommes inconscients des répercussions de ce que nous disons que nous laissons les mots dépasser notre pensée.
Des études sont menées sur l’impact de la musique dans notre cerveau et sur tout organisme vivant. Une musique peut engendrer de l’agressivité et toucher au niveau des émotions ce qu’il y a de plus sombre dans l’humain. Ces musiques sont semblables aux musiques militaires qui, sur un rythme à deux temps font piétiner sur place. Si des soldats passaient sur un pont en suivant un rythme saccadé, ils seraient capables de faire écrouler le pont !
La musique n’adoucit pas toujours les moeurs. Le son peut briser le cristal et guérir mais aussi faire sortir l’agressivité. Les résultats dépendront de ce que l’humain en fera.
Mettra t’il le son au service de l’ombre ou de la lumière ?
Sources : article paru sur Energie-Santé (www. energie-sante.net) complété par une interview de Sacrée Planète
