JE CHANTE !

JE CHANTE !

‘Je chante, je chante soir et matin, je chante sur mon chemin,
 Je chante, je vais de fermes en châteaux
 Je chante pour du pain, je chante pour de l’eau !
 Je couche, sur l’herbe tendre des bois
 Les mouches ne me piquent pas,
 Je suis heureux (se) j’ai tout et j’ai rien
 Je chante sur mon chemin !’

Vous avez probablement reconnu la mélodie distillée par celui que l’on appelait le ‘fou chantant’…
Cet air donne la pêche et met en joie, ne trouvez-vous pas ?

Il y a 1001 raisons de chanter. Et vous ‘pour quoi’ chantez-vous ? 
Voici quelques exemples de ‘pour quoi’ chanter (liste non exhaustive) :

  • pour contacter sa joie
  • pour se faire plaisir
  • pour se dynamiser ou s’apaiser
  • pour libérer l’expression, les émotions
  • pour respirer et se sentir vibrer
  • pour partager un moment de communion avec d’autres
  • pour se centrer, méditer, prier
  • pour contacter sa puissance et/ou sa douceur
  • pour prendre confiance en soi
  • pour oser l’exubérance et l’humour
  • pour se transformer
  • pour le plaisir de résonner !

Et si tout simplement vous chantiez spontanément, ‘sans raison’, sans réfléchir, partout et tout le temps, du soir au matin et du matin au soir… sous la douche, dans la voiture, devant la machine à café :), en épluchant les légumes, pour oublier vos peines, pour bercer un enfant …? 

Chanter à pleine voix, chanter à tue-tête, chanter à capella, fredonner, murmurer, psalmodier, improviser, chanter dans sa tête … variez les plaisirs !

Mettez plus de chant dans votre vie et plus de vie dans votre chant (Monastesse) 

  • Pour vous ‘mettre en chant’ ou ré-enchanter votre quotidien retrouvez les ‘bulles de chant’ ICI !
  • Pour concilier les bienfaits du chant et de la marche  cliquez ICI !
  • Pour aller plus loin sur le chemin de la voix contactez-moi !

 

LA JOIE

LA JOIE

« Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à la tristesse » notait Gide le 12 mai 1927 dans son journal.

Qu’est-ce que la joie ? Une façon pleine, satisfaite, reconnaissante d’habiter l’existence. Le joyeux ne manque de rien.  Pourtant il n’a pas tout – qui possède tout ?  En revanche, il se contente de ce qu’il a. Mieux : il s’en délecte. Le joyeux n’éprouve pas de frustration. Alors qu’au déçu, au déprimé, au mélancolique, au fatigué, tout fait défaut. Si la tristesse est conscience d’une absence, la joie est conscience d’une présence. Quand la tristesse vise ce qui n’existe pas ou plus -chagrin d’avoir perdu quelqu’un, dégoût de se savoir faible, mortel, impuissant, limité-, la joie découle d’une plénitude. Elle crie notre plaisir d’être vivants, là, éblouis par ce qui nous entoure. Se réjouir et jouir, telle s’avère la joie. Elle ne demande rien, elle ne déplore rien, elle ne se plaint de rien. Elle célèbre, elle remercie. La joie est gratitude. Quelle légèreté nous apporte la joie en nous délestant de ce qui nous alourdit, ambitions, regrets, remords, obsessions, amertumes, illusions, prétentions !

Notre époque n’aime pas la joie. Elle aime l’étourdissement et le divertissement, ces pratiques qui nous arrachent à l’ennui ou l’affliction sans approcher la joie. Dans le joyeux, elle ne voit qu’un abruti, jamais un sage.  Or, il y a une sagesse de la joie. Heureux de vivre, non seulement je consens mais j’aime : je consens à ce qui existe et j’aime ce qui tombe sous mes sens. J’épouse et j’adore l’univers.

Eric-Emmanuel SCHMITT

 

QUAND CA DEBORDE…

QUAND CA DEBORDE…

Pourtant la journée avait bien commencé… je me préparais à accompagner un trio féminin pour la journée et la ‘Petite Voix’ (Eileen Caddy) m’avait invitée à ne pas m’apesantir sur les erreurs passées, à jouir de la vie en remerciant pour chaque chose… sage programme !

Il fait bon dans l’accueillant cocon du grenier de VocaLys. Le givre a brodé des étoiles sur les ouvertures vitrées tandis que le soleil hivernal illumine le proche vignoble, à défaut de le réchauffer…  Après une entrée en matière corporelle et vocale ludique, je m’éclipse, laissant les belles d’âmes s’absorber dans un travail créatif intuitif…

Floc, floc, floc, mais quel est donc ce bruit ? Je découvre ma cuisine inondée… Le diagnostic est rapidement posé : rupture de canalisation ! Les températures polaires ont eu raison de la tuyauterie ! Je commence à éponger en attendant Mac Gyver qui maîtrisera la situation grâce à un aspirateur à eau. Merci pour cette belle invention qui m’a permis d’accueillir  ‘sereinement’ l’invasion aqueuse… l’eau c’est la vie !

Dans votre vie, vous est-il déjà arrivé : 

  • d’être à deux doigts de ‘pèter un plomb’ ?
  • de vous laisser déborder par un ‘trop plein’ émotionnel ?
  • de vouloir prendre un aller simple pour une île déserte ?

Trop de pression, trop de contraintes, trop d’engagements, trop d’objectifs à atteindre, trop, trop, trop... Quand ça ne circule plus avec fluidité, ça casse !

Et si, pour éviter d’en arriver là vous :

  • preniez davantage soin de vous: respirer, marcher, chanter…
  • exprimiez vos émotions
  • appreniez à accueillir ce qui se présente…

 

Votre force intérieure réside dans l’accueil de ce qui est, non dans le combat de ce qui est. Vivre c’est donner de l’espace à ce qui est. C’est permettre à chacune de vos facettes d’émerger. C’est donner la liberté au corps, au mental et aux émotions de s’exprimer. C’est transformer la lutte en une forme active d’accueil. 

Extrait de ‘Le pouvoir de l’accueil / Nassrine Reza’

 

PS : Psst !J’ai un autre ‘tuyau’ : faites une ‘cure’ de Célest’in 🙂 Elle distille ses ‘joyeux clins de vie’ ICI !

 

ARRETE DE FAIRE LE PITRE !

ARRETE DE FAIRE LE PITRE !

Etes-vous la ‘marrante de service’, celle qui amuse la galerie, celle qu’aucune émotion ne semble jamais atteindre ? Sacrée veinarde ! Il semblerait pourtant que ce ne soit pas aussi ‘confortable’ ! Faire systématiquement le pitre découle le plus souvent d’un manque… d’estime de soi ! Les ‘rigolotes‘ ont la conviction que si elles ne font rien d’amusant elles n’intéresseront personne. Ainsi sont-elles devenues le sésame d’une soirée réussie ou d’un dîner en famille.

Ces comportements leur permettent d’atteindre deux objectifs certes contradictoires : attirer l’attention sans pour autant se dévoiler ! Le besoin de ‘faire le clown’ renvoie à celui d’être reconnue, appréciée, valorisée.

Et si vous commenciez par arrêter de ‘faire le clown’ pour découvrir enfin votre façon d’‘ETRE clown’ ? Travailler à ‘ETRE clown’ c’est : mettre en jeu ses émotions, ses fragilités, oser vous montrer sous votre vrai jour, affirmer votre présence, développer votre écoute et votre sens de la dérision, expérimenter de nouvelles ressources…

ETRE clown’ initie un processus de transformation personnelle qui permet d’explorer et transformer les parties de vous laissées en friche… ‘ETRE clown’ est une joyeuse voie d’accomplissement !

 

Pour passer de la théorie à la pratique cliquez ICI !

 

 

C’EST NOEL CHAQUE JOUR ?

C’EST NOEL CHAQUE JOUR ?

5, 4, 3, 2, 1, c’est parti ! Depuis le week-end dernier le coeur de l’Alsace bat au rythme de… Noël ! Les marchés fleurissent comme les pâquerettes au printemps, le plus petit bourg se pare de décorations plus ou moins heureuses, les rues piétonnes résonnent d’air ‘traditionnels et les cars déversent allègrement des cargaisons de touristes avides d’authenticité, au plus grand bonheur des commerçants ! Il y a à boire et à manger, c’est peu de le dire !

J’ai l’impression qu’en progressant en âge (mi quinqua l’an prochain !!) je me mets à raisonner comme mon père (82 ans), complètement dépassé par la frénésie du monde actuel… et à regretter ‘le bon vieux temps’… En tous cas, il en est ainsi pour mes noëls d’enfance… nostalgie quand tu me tiens…

Nous nous retrouvions en famille chez mes grands-parents paternels, autour d’une table garnie de mets simples mais succulents, préparés avec amour par une grand-mère nourricière qui s’affairait avec bonheur derrière ses fourneaux préférés ! Le minuscule sapin en pot trônait sur le ‘tressoir’ de la salle à manger, décoré avec sobriété et abritant des cadeaux utiles. Vers minuit, après avoir chanté  autour du sapin, nous sortions affronter le froid (et la neige lorsqu’elle s’était invitée !) pour nous rendre jusqu’à l’église célébrer la naissance du sauveur… Au retour, grand-père allait nourrir ses deux vaches, une fois n’est pas coutume, et la veillée se concluait autour d’une délicieuse brioche aux noisettes… mmmmh… Que d’émotions !

 

Si vous aussi êtes en quête d’essentiel, un atelier ‘Chantons Noël’ autour d’un chocolat chaud et des bredalas vous tend les bras le 17 décembre. Renseignements et inscriptions  ICI !

Si vous avez envie d’un Noël solidaire, bienvenue au Vide-grenier de Noël au profit de l’association www.voixlibres.org qui oeuvre depuis plus de 20 ans en Bolivie pour les enfants des rues et des mines et les femmes !

 

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LES FEUILLES MORTES SE RAMASSENT A LA PELLE…

LES FEUILLES MORTES SE RAMASSENT A LA PELLE…

… les souvenirs et les regrets aussi et le vent du nord les emporte dans la nuit froide de l’oubli… (Prévert/Kosma)

Les journées raccourcissent, les brumes matinales et les premiers frimas sont au rendez-vous tandis que la nature se pare de ses plus chaudes couleurs !

J’aime l’automne et ses plaisirs… un thé fumant, l’odeur d’une bougie, le crissement des feuilles sous mes pas, l’odeur d’humus du sous-bois, le clapotis des gouttes de pluie, une écharpe toute douce, les pantoufles chaudes, un bon roman… et vous ? 

 

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L’humanité se dirige vers la nuit de l’hiver, les feuilles tombent et la vie expire. Telle est la nature de l’existence : tout meurt et tout recommence. 

L’automne est une invitation à rentrer à l’intérieur, une invitation à un retour sur soi, une invitation à préparer son ‘terreau’… 

Qu’y a t’il à couper, ôter, élaguer en vous pour vous permettre une croissance fluide ? 

 

Il est temps de laisser aller ce qui doit partir, de vous délester de ce qui vous alourdit. 

Il est temps de vous reconnecter à vos sens afin de jouir pleinement de votre vie. 

Il est temps de trier votre passé et de prendre conscience de vos talents. 

 

Si vous vous sentez prête cliquez ICI !

UN ANGE PASSE…

UN ANGE PASSE…

Dans notre civilisation, cela peut paraître incongru de rechercher le silence. Pourtant, le silence peut devenir un compagnon de route et un ami. Mais au fait, quelle en est la définition ?

  • Absence de tout bruit, de toute agitation
  • Etat de quelqu’un qui s’abstient de parler ou d’écrire, d’exprimer son opinion
  • Absence de mention d’un événement
  • En musique: interruption plus ou moins longue du son

Le silence, c’est aussi l’arrêt d’un rythme, le vide. C’est aussi se rendre perméable au subtil, au murmure de la vie inaudible sans le silence.

Le silence et le mutisme sont de significations très différentes. Le silence est un prélude d’ouverture à la révélation, le mutisme est la fermeture à la révélation, soit par le refus de la recevoir ou de la transmettre, soit par punition de l’avoir brouillée dans le tapage des gestes et des passions.

Nous sommes si familiers avec le bruit des mots… mais quel est le silence de celui qui n’entend pas, le silence du sourd-muet ? il se sent au début comme privé du pouvoir de communiquer, parce que privé de parole et que l’accès à la parole est le mode le plus partagé de la communication. Il y a bien de la différence entre le silence et l’absence de bruit !

Le silence par absence de bruit, axe de notre civilisation, nous gêne. Il semblerait que ce qui ne fait pas de bruit n’ait pas d’importance. L’absence de bruit peut être nécessaire pour réfléchir, mais nous sommes souvent à faire l’inverse. L’expérience du bruit engage toujours avec elle l’expérience d’un ‘autre’ alors que dans le silence, serions-nous seuls ? 

Nous vivons dans un monde de célibataires. Cette solitude silencieuse subie se résume plutôt à un vide existentiel par opposition à celui présent dans une solitude recherchée. A l’inverse, la solitude voulue de la retraite monastique permet, grâce au silence, de se ressourcer. Ce que nous recherchons alors est bien sûr l’absence de bruit, mais aussi de ne plus avoir à parler à nos congénères…

Car nous vivons dans un monde où la verbalisation est la règle et le silence l’exception. Nous vivons au milieu d’un torrent de mots si bien que la valeur du silence nous échappe le plus souvent. Un silence peut être une réponse, à interpréter, mais il est toujours l’expression de quelque chose que l’on veut dire, communiquer à l’autre. En gardant le silence, quelquefois, on évite de dire ce qu’il vaut mieux omettre. La parole n’est pas le bavardage…

(Article inspiré par le blog Zen habitudes)

Le silence, avant d’être une possibilité de réflexion sur la parole, doit être un espace pour l’ECOUTE. Le silence intérieur rend disponible par une mise en retrait du monde. Il favorise l’observation et procède à la mise en branle des énergies subtiles. Je vois, j’écoute, je sens, je ressens, je goûte…

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5 OBJECTIFS A SE FIXER POUR VIVRE PLUS HEUREUX

5 OBJECTIFS A SE FIXER POUR VIVRE PLUS HEUREUX

Etre plus heureux n’est pas seulement une question de chance. Quels que soient les événements qui interviennent dans une vie, il et important de toujours relativiser et d’essayer de voir ‘le verre à moitié plein’.  Voici quelques objectifs simples qui pourront vous rendre beaucoup plus heureux si vous réussissez à les atteindre.

  1. Respecter les autres : Respecter les autres est en effet primordial. Vous l’avez certainement remarqué, le dédain, la médisance ou le mépris ne mènent à rien si ce n’est la médiocrité. Les personnes qui ont tendance à s’énerver de manière épisodique regrettent souvent leurs paroles indélicates et passent ensuite des heures, voire des jours à repenser à ce qu’elles auraient dû dire ou faire. Respecter les autres permet d’une part d’être plus agréable à autrui, d’autre part, de se sentir mieux dans sa peau, sans culpabilité ni regret.  Le respect des autres entraîne généralement un retour positif : les autres vous respectent à leur tour, ils vous font confiance et tout le monde vit mieux.
  2. *Se respecter soi-même : Boire trop d’alcool, fumer, ne pas manger équilibré, faire des nuits blanches, prendre des risques inutiles, etc… tous ces exemples sont en fait de petits manques de respect pour votre propre corps et parfois même pour votre esprit.  Mais le respect n’est pas seulement physique, il doit être aussi moralAinsi, si vous vous dénigrez, que vous ne croyez pas en vous ou en vos compétences, alors vous vous manquez de respect. Si vous ne réussissez pas à vous faire confiance, il est peu probable que quelqu’un le fasse pour vous ! Croyez-en vous et ne vous mettez plus de barrières  ! Le fait de se lancer alors que l’on ne sait rien oblige à apprendre… et l’apprentissage fait partie intégrante du respect que l’on a pour soi-même.  Nourrissez votre cerveau de nouvelles informations, allez de l’avant, oubliez les limites et avancez en confiance, vous ne le regretterez pas !
  3. Se donner les moyens de faire ce que l’on veutLa vie est trop courte pour perdre son temps et se priver. Donnez-vous les moyens de faire ce que vous voulez, à condition bien sûr que ce que vous voulez soit réaliste et envisageable.  Commencez par vous fixer quelques objectifs simples, de petites choses qui pourraient vous rendre plus heureux au quotidien. Gardez néanmoins à l’esprit que pour profiter, il faut généralement ‘travailler’. Le plaisir est en effet décuplé lorsque le chemin a été long pour arriver à un but. Une fois ce fameux but atteint, on se fixe généralement un nouvel objectif car le bonheur réside souvent dans la quête de ce que l’on veut et non dans le résultat ! Donnez-vous les moyens d’entreprendre, prenez des initiatives : de cette manière, vous apprendrez et vous prendrez un plaisir fous dans chaque initiative.
  4. Etre positif : Etre positif est sans doute LA clé du bonheur. L’idée n’est pas de porter un masque et de faire croire que tout va bien, mais de le penser réellement. Prenez l’habitude de trouver le côté positif de chaque chose et, si vous le souhaitez, pensez à voix haute pour vous auto-convaincre ! Le seul fait d’être positif devrait irrémédiablement ‘déteindre’ sur ceux qui vous entourent. Pratiquez le positivisme au travail, avec votre famille, en amour et soyez confiant…
  5. Profiter de l’instant présent : Internet, ordinateurs, tablettes, smartphones, nous avons tendance à délaisser la beauté de ce qui nous entoure au profit d’une vie virtuelle pourtant beaucoup moins enrichissante. Profiter de l’instant présent signifie prendre conscience de notre environnement.  Inspirer l’air frais, fermer les yeux et se dire ‘quelle chance j’ai d’être en vie’ c’est ça le bonheur.  A vous de jouer !

Source : Habitudes zen / Olivier Roland

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LES 10 COMMANDEMENTS DU BONHEUR

LES 10 COMMANDEMENTS DU BONHEUR

Maîtrisez votre temps : Les gens heureux ont le sentiment de contrôler leur vie. Pour maîtriser votre temps, fixez-vous des objectifs et répartissez-les en objectifs quotidiens. Nous avons tendance à surestimer ce que nous pouvons réaliser en un jour (d’où une frustration ensuite), mais à sous-estimer ce que nous pouvons faire en un an si nous avançons un peu chaque jour.

Ayez un travail et des loisirs qui vous permettent de déployer vos talents : Les gens heureux sont souvent dans un état de ‘flow’ (expérience optimale où tout semble fluide) : ils sont absorbés par des tâches dans lesquelles ils se donnent à fond, tout en ne se laissant pas submerger par elles. Les formes de loisirs plus coûteuses, comme être sur un yacht, procurent souvent moins cette expérience optimale que le jardinage, les contacts humains ou les activités manuelles.

Comprenez bien qu’un bonheur durable ne vient pas du succès : Les individus s’adaptent au changement, qu’il découle d’une augmentation de la richesse ou de la survenue d’un handicap. La richesse est comme la santé : ne pas l’avoir engendre la misère, l’avoir (ou obtenir une situation enviée) ne garantit pas le bonheur.

Accordez la priorité à de véritables relations : Les amitiés profondes avec des gens qui se préoccupent véritablement de vous peuvent vraiment vous aider à faire face aux moments difficile. Se confier à quelqu’un est bon pour le corps comme pour l’esprit. Entretenez vos relations intimes,  en ne tenant pas pour acquis les personnes aimées, en leur prodiguant l’affection que vous prodiguez aux autres, en les soutenant, en jouant et en partageant avec elles. Pour ranimer vos sentiments, donnez de l’amour.

Paraissez heureux : Nous pouvons parfois agir de manière à créer en nous un état d’esprit plus heureux. Même quand on nous arrache un sourire, nous nous sentons mieux. Quand nous faisons grise mine, le monde entier semble faire de même. Ayons donc l’air heureux. Parlez comme si vous étiez content de vous, optimiste et extraverti. Si vous allez dans ce sens, les émotions suivront !

Bougez : D’innombrables études montrent que l’exercice physique peut soulager une légère dépression ou une angoisse, mobilisant à la fois la santé et l’énergie. Ce qu’il faut, c’est un esprit sain dans un corps sain.

Offrez à votre corps le sommeil dont il a besoin : Les gens heureux mènent une vie active, mais consacrent le temps nécessaire au sommeil et à la solitude. Beaucoup souffrent d’un déficit du sommeil, lequel engendre de la fatigue, une vivacité moindre et une humeur morose.

Soyez généreux : Tendez la main à ceux qui sont dans le besoin. L’altruisme favorise le bonheur (qui se sent bien fait le bien). Et faire le bien permet de vous sentir mieux.

Cultivez votre spiritualité : Pour beaucoup de gens, la foi apporte un soutien communautaire, une raison de se tourner vers les autres, un sens à la vie et une espérance.

Tenez un journal de gratitude: Qui prend le temps, chaque jour, de consigner chaque aspect positif de sa vie (santé, amis, famille, liberté, éducation, impression, etc…) ressent un bien-être accru.

 

Source : Happiness : Le grand livre du bonheur

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